Manif pour tous dans un Paris occupé qui devient une jungle
Ce dimanche, la nouvelle édition de La manif pour tous (LMPT) s’est déroulée en deux parties : à paris pour une grande moitié Nord ; à Bordeaux pour tout le reste de la France.
Nous nous attacherons ici à donner recension de celle de Paris, qui s’est déroulée dans une ville surendettée (4 milliards d’euros) que les hautes herbes commencent à envahir.
Les dispositifs policiers furent surtout visibles aux abords des gares, comme à celle du Montparnasse.
Les quelques élus de leur République qui avaient fait le déplacement formaient un petit carré en tête de cortège, avant le départ du défilé (peut-être que certains opportunistes ne sont pas encore remis des festivités du nouvel an juif désormais fêté par le Premier ministre « laïc » lui-même). Ils étaient protégés par un double cordon de sécurité, mais n’avaient pas oublié leur drapeau européiste qui enlevait encore un peu de sens à leurs écharpes tricolores, sorties de la poche au dernier moment pour paraître face aux caméras médiatiques, elles bien autorisées à les approcher au plus près.
Ils ont ensuite été précédés par des Mariannes à bonnet phrygien.
Cette manifestation aura été plutôt patriotique – en témoignent les drapeaux tricolores ici et là –, très enracinée dans les terroirs représentés par les numéros de départements et des bannières des régions (Bretagne, Vendée, etc.) et même appuyée par quelques patriotes suisses qui portaient haut leurs couleurs.
Mais les organisateurs auront donné le change à l’occupant. Ainsi, après s’être déclarés homophiles et républicanolâtres, ils auront également fait allégeance au gouvernement antifrançais en soumettant tous les participants au contrôle de colons venus d’Afrique.
En effet, les manifestants sont arrivés progressivement.
Puis, avec le véhicule de la Sécurité civile, sont apparus des vigiles africains et maghrébins qui ont fouillé et filtré les manifestants sur leur passage.
Inspectant les premiers manifestants arrivés à leur hauteur, ces colons ont ensuite été noyés dans le flot considérable de la foule française.
[photo vestes oranges 9]
Ils se sont alors contentés de faire acte de présence pour encaisser le prix du pacte de leur protection à la fin du cortège des dhimmis qui s’ignorent.
Après les « joyeusetés » des égorgements rituels de l’Aïd ces derniers jours et alors que la seule menace actuelle sur ce type de rassemblement – hormis la police en civil – est celle du terrorisme islamique, les nombreux bénévoles et manifestants qui paient leurs déplacements et accessoires colorés apprécieront !
Cette mise en scène s’était amplifiée après que la première organisatrice de ce mouvement contestataire – Virginie Tellenne à la ville – avait été convoquée auprès du ministre de l’Intérieur… Manuel Valls, sur demande du Premier ministre Jean-Marc Ayrault [très probablement pur y subir des pressions qui ont amené l’égérie du début à dérailler et à être remplacée à la tête de LMPT]. >
Nous voici donc dans cette situation d’une grande hypocrisie où il faut faire totalement allégeance au Système d’occupation, y compris à ses non-dits de contrôle total des Français par des Étrangers, pour pouvoir manifester publiquement son désaccord face à une seule loi républicaine et ses conséquences chaque jour pires.
Cet état de fait contraste cependant avec la dignité des manifestants, encore extrêmement nombreux ce dimanche. Seuls ou en famille, conscients ou pas des enjeux politiques profonds, ils défendent de vrais droits humains envers la République de la bestialité et des actes monstrueux et contre les prétendus « progrès » qui avilissent les êtres humains… au nom des « droits de l’homme ».
Selon les organisateurs, plus de 500 000 personnes ont manifesté ce dimanche. Selon le très antifrançais préfet de police Paris, habitué aux mensonges et aux manipulations, il n’y aurait eu que 70 000 manifestants.
Source : http://jeune-nation.com/2014/10/9962-plusieurs-centaines-...